Aujourd’hui le système, à tous les niveaux de la société, ne vous encourage pas à travailler :

Lorsque vous êtes non qualifié ou étranger ne maîtrisant pas le français, alors d’un côté vous avez du mal à accéder au monde du travail, et le peu que vous trouvez est très mal rémunéré, et de l’autre l’État qui vous encourage à l’oisiveté en subvenant à tous vos besoins via, l’allocation logement, le RSA, les allocations familiales, la CMU, etc…

Après vous avez la classe des ouvriers qualifiés, des artisans, des petits entrepreneurs. Eux quand ils ont fait une bonne année, ou perçu des revenus exceptionnels, ils se font assassiner par les impôts l’année suivante. Ce qui généralement entame leur motivation à persévérer dans l’effort.

Puis il y a la dernière tranche, celle des grandes entreprises et des grands groupes. Là l’équation est encore plus simple : quand vous leur créez des complications sur le plan normatif, législatif, ou que vous leur imposez une pression fiscale trop forte à travers les charges sociales et le régime d’imposition, Eh bien ils délocalisent. Les conséquences sont ensuite catastrophiques concernant la création de richesse et l’emploi.

Il est vital de remettre le travail et le mérite au cœur d’un vrai projet politique, et de tout faire pour rendre la France la plus productive possible dans un contexte de concurrence internationale.

Si je peux paraître des fois dans les idées, comme ultra-libéral, c’est parce que la France elle fait partie des « extrémistes du social » en comparaison aux standards mondiaux.
Je suis plutôt favorable pour remettre le curseur au milieu entre une société d’assistanat, asphyxiant sous une pression fiscale colossale, et un système ultra-libéral écrasant l’humain au profit du capital seul.
J’ai moi-même travaillé, « par curiosité », dans des pays du tiers-monde pour 1,20 €/h, sur une base de 10 h/jour, même quand on en faisait 13 ou 14, le tout 7 jrs/7.
Ce qu’il faut bien comprendre de cet exemple-là, c’est que quand le patron te donne 1,20 €/h c’est parce qu’il ne peut pas t’en donner moins. S’il pouvait te payer seulement $1 /jour, comme cela se pratique dans certains pays d’Afrique ou d’Asie, il le ferait.

La conclusion, c’est que l’homme est un loup pour l’homme, et qu’il a une fâcheuse tendance à exploiter ses semblables.
Par conséquent, si je suis pour une simplification massive du système, et un déverrouillage total du code du travail, permettant des embauches ou des débauches rapides sous la forme d’un contrat de travail unique.
Ces changements doivent s’organiser autour d’un élément essentiel, un réel garde-fou, c’est la mise en place d’un « SMIC horaire » élevé et réévalué aussi souvent que nécessaire. C’est la condition sine qua non pour avoir des entrepreneurs et des salariés heureux. Il faut que le travail paye !

C’est la taxation la plus injuste qui existe aujourd’hui. La classe moyenne paie pour ceux qui sont en dessous et que l’État prend en charge de A à Z, mais elle paie également pour ceux qui sont au-dessus. Lorsque vous gagnez beaucoup, beaucoup d’argent, vous pouvez faire plusieurs sociétés, une holding, la baser à l’étranger, avoir accès à des conseillers fiscaux et faire de l’optimisation.
Quand vous êtes ouvrier, artisan, agriculteur, fonctionnaire, professionnel de la santé, force de l'ordre, vous ne vous posez pas de question. Vous allez tous les jours au boulot, et la fin de l’année on vous dit « vous devez tant », vous passez au tiroir-caisse et vous continuez à travailler.
Chaque euro perçu en guise de salaire doit rester dans la poche de celui qui a peiné pour le gagner.

À contrario par exemple la TVA est une bonne taxe. Elle a une vertu écologique, moins vous consommez, et par définition moins vous polluez, et moins vous payez d’impôts. Elle a également une vertu de justice sociale, les gros revenus qui dépensent généralement plus et font tourner l’économie, payent de facto plus de TVA.

Si l’objectif c’est de remettre le travail, la récompense du travail, et la productivité au centre d’un grand projet politique via une baisse de la fiscalité, tout en assurant les services régaliens de la France comme la sécurité ou la défense, ainsi que ses prérogatives principales : santé, retraite, éducation, construction et maintien des infrastructures. Si cette transformation profonde est partiellement possible par une simplification administrative massive, et la mise en place de l’utilisation de l’intelligence artificielle dans tous les domaines de services, cela ne suffira pas. Nous allons nous heurter tôt ou tard à des charges incompressibles, avec en face un manque de ressources.

Il faut changer de logiciel, passer d’un « État pieuvre » qui engloutit les ressources de ses concitoyens, pour rappel on est à 57 % de dépenses publiques par rapport au PIB, quand on était à 35 % dans les années 60. À un « État business », capable en parallèle de ses activités de percepteur, de créer de la richesse à travers des entreprises rentables et ainsi soulager un peu le contribuable. Par exemple, la privatisation des autoroutes au début des années 2000, ou l’ouverture du marché de l’électricité à la concurrence en 2007, ont été des erreurs stratégiques.

Si on a des fois l’impression que l’herbe est plus verte ailleurs, sur cette question en particulier j’ai dû me rendre compte au fil de mes voyages que ce n’était pas forcément le cas.
La complexité bureaucratique est aujourd’hui la gangrène de nos sociétés modernes occidentales mais pas seulement, si la France est à son paroxysme des lourdeurs administratives, bon nombre de pays du tiers-monde vous proposent une déclinaison « d’un flou artistique » en la matière.

Ceci étant dit, le manque de compétence ou de bon sens des uns n’excuse pas le nôtre, il est vital de procéder à une simplification administrative massive dans tous les domaines, et de laisser respirer la France.
Depuis l’ère du numérique, et encore plus aujourd’hui avec l’arrivée de l’IA, il n’y a pas de barrière technique à cette métamorphose. Le plus dur étant de changer les mentalités et non pas les lois.

À l’instar des États-Unis, il faut valoriser le sport à travers une combinaison de soutien éducatif, infrastructurel, médiatique, économique et culturel, pour créer un environnement où le sport fait partie intégrante de la vie quotidienne et de l'identité nationale.
Je trouve dramatique de voir dans tant de villes en France, des complexes sportifs, des stades, qui ont coûté des millions aux contribuables, et qui sont accessibles seulement entre 9h et 17h, à des plages horaires où les gens travaillent.

LA LIGUE 1 DE FOOTBALL
J’ai un rapport particulier avec le foot, j’ai joué toute mon enfance à l’ASPTT de BAR-LE-DUC, et puis plus tard dans mon village. J’aimerais tant voir un jour la Ligue 1 rivaliser avec la « Premier League », même si j’ai conscience que la différence de ressource des clubs est abyssale. Si on ne compare que la redevance des droits de diffusion télé entre les clubs Français et ceux d'outre-Manche, c’est un rapport de 1 à 10 !
Résultat notre championnat n’intéresse pas, et on voit partir depuis des années tous nos plus grands joueurs à l’étranger. Pour ne prendre que trois exemples : Benzema, Ribéry, ou aujourd’hui Mbappé.

Toute société repose sur le partage d’un minimum de règles, mais également de valeurs communes. Le social en fait partie. Il trouve tout son sens dans la devise de la République, et plus précisément dans le terme « Fraternité ».
Je suis attaché aux trois points essentiels suivants :
- La santé gratuite.
- Un minimum retraite.
- L’éducation des jeunes, qui sont l’avenir de notre pays.

C’est une des mesures importantes à mettre en place rapidement et qui peut, combinée avec une législation complaisante et des charges sociales modérées, donner envie aux entreprises Françaises de rester, voire de revenir, ou encore à d’autres de s’installer.
Je propose un taux de 10 %, pour rejoindre les leaders Européens en la matière comme la Bulgarie (10 %) ou l’Irlande (12,5 %).
L’Estonie a une approche également très intéressante, les sociétés ne paient pas d'impôt sur les bénéfices tant que ceux-ci ne sont pas distribués aux actionnaires. C’est une politique qui encourage le réinvestissement, et qui est de facto extrêmement bénéfique aux startups. Leur programme de « E-résident », qui permet à n’importe quel citoyen du monde d’ouvrir une société en Estonie sans jamais y mettre les pieds, est à étudier également avec grande attention. Le concept est génial.

C’est un sujet qui me tient tout particulièrement à cœur, et qui fait partie, avec la réduction des prélèvements fiscaux et la simplification administrative, de la colonne vertébrale de mon projet politique.

Je milite pour instaurer :
« Un cadre le plus large possible, mais le plus rigide possible. »
C’est-à-dire légiférer au minimum, avec des lois simples, compréhensibles par tous, et facilement vérifiables. Laisser les gens vivre, créer, s’exprimer, travailler, gagner de l’argent, le dépenser. En un mot, laisser les gens libres !

Cependant la liberté s’arrêtant où commence celle des autres, les auteurs de dommages causés à autrui ou des dégradations de biens publics doivent subir une répression farouche.

- Ne plus traduire de film sur l'audiovisuel public et privé, mais diffuser les œuvres en Version Originale accompagnées des sous-titres en Français. C’est principalement cette mesure qui explique le décalage de niveau avec bon nombre de nos voisins et amis Européens.

À titre personnel j’ai appris 4 langues en plus du Français, principalement grâce à mes voyages. Cependant si j’ai considérablement progressé en Anglais ces dernières années, c’est par une utilisation régulière de Netflix, en consommant exclusivement des contenus en VO. L’apprentissage d’une langue est toujours un processus long et difficile, qui demande dans un premier temps des longues heures d’écoute. Le cerveau en a besoin pour arriver à décomposer les mots et les syllabes, c’est la première étape !)

Nous devons faire une priorité de l’Anglais. C’est la langue de référence aujourd’hui dans tous les domaines, que ce soit la Recherche, la Science, le Militaire, la Programmation Informatique, les Nouvelles Technologies, le Commerce, etc…

Après la majorité :
- 1 an de service militaire
- puis ensuite 1 an de projet humanitaire
Ces mesures permettront aux jeunes des beaux quartiers, de banlieues, et de nos campagnes, qui ne se sont jamais côtoyés et qui ne se côtoieront jamais, de vivre des expériences fortes ensemble, et d’éviter ainsi une fracture sociétale qui devient tous les jours un peu plus une réalité.

Je fais et j’ai fait partie de ses grands bénéficiaires, arpentant déjà cet immense territoire à l’âge de 15 ans avec mon sac à dos, sous une forme de liberté totale.

La libre circulation des biens, des marchandises, et des personnes ainsi que la monnaie unique facilitent le commerce et l’échange culturel entre nos nations. D’une manière plus générale elle nous fait gagner du temps ! Et c’est bien cette valeur « temps » qui est la plus importante sur Terre, et non pas l’argent.

Quoi qu’on en dise également, l’Union Européenne est un vecteur de paix en Europe depuis presque 80 ans déjà, et rien que pour cela, on peut lui rendre hommage. Après est-ce qu’on est obligé de subir le carcan normatif que nous impose Bruxelles ? Ça c’est une autre question…

C’est une réelle révolution, du même ordre que l’apparition d’Internet ! On est déjà bon nombre à s’en servir au quotidien. C’est l’accès à un expert dans un nombre de domaines illimité, 24h/24, pour un coût dérisoire ! L’IA est entrain incontestablement de niveler les hommes par le haut, en réduisant l’importance de l’écart d’instruction entre les individus, et remet au premier plan les gens courageux, autodidactes, ou créatifs !

Comme dans bon nombre de thématiques innovantes, pendant que les États-Unis financent, l’Europe légifère. À l'instar du Japon qui a passé un partenariat avec OpenIA pour moderniser ses services, nous nous devons d’aller vite sur ce sujet et introduire l’utilisation massive de l’Intelligence Artificielle dans les domaines suivants :
- Service public
- Hôpitaux
- Justice

Les pertes d’emplois liées à l’IA ? À chaque révolution technologique la société a su se réorganiser. L’intelligence de l’homme c’est sa faculté d’adaptation.

Qu’est-ce que l’argent, l’euro, aujourd’hui ? À 90 %, ce sont des lignes de code sur un ordinateur, les 10 % restants sont sous forme de papier. Qui garantit la non duplicité de l'argent ? Ce sont les banques. Lorsque vous recevez un virement de 100 €, vous savez que la même somme a été débité sur le compte de votre créditeur. Et l’inverse étant vrai aussi,)🙂 cela vous invite à dépenser l'argent parcimonie. Dans ce processus le partenaire de confiance c’est la banque, qui dépend elle-même d’un État. C’est ce qu’on appelle un système centralisé.

Le grand intérêt des cryptomonnaies, c’est leur aspect décentralisé. Je vais essayer de prendre un exemple et de le vulgariser à l'extrême : Si à l’échelle d’un quartier, vous décidez de créer une monnaie virtuelle entre voisins, le tout sans ordinateur ! Appelons-la par exemple « Bitcoin ».) Lorsque vous voulez donner 1 Bitcoin à votre voisin d’en face, pour certifier que ce Bitcoin n’est plus chez vous et en informer la communauté, vous allez inscrire et signer la transaction dans un « livre de compte », qui se trouverait par exemple dans un kiosque au bout de la rue. Pour éviter que ce « livre de compte » ne soit détérioré ou perdu, quelques personnes du quartier maintiennent une copie chez elles, et viennent tous les jours à la même heure ensemble au kiosque pour recopier les nouvelles transactions. Dans le monde de la cryptomonnaie ce « livre de compte » ça s’appelle « la blockchain ». Et c’est cette technologie, avec la participation de la communauté, qui font ici office de garant. Sans avoir besoin d’une tierce personne de confiance, comme le système bancaire.

Les cryptomonnaies permettent aux citoyens une réappropriation de l’argent, et sa libre disposition d’utilisation. Je propose donc une défiscalisation totale de la cryptomonnaie.

Ceci étant dit, au vu de la volatilité des cours, je pense qu’il n'est pas judicieux de maintenir plus de 5 à 10 % de son patrimoine en cryptoactifs.

CECI N’EST PAS UN CONSEIL EN INVESTISSEMENT.

Elle continue de déchirer le monde, avec des conflits qui bien souvent n’intéressent personne, comme par exemple au Soudan, en Birmanie ou au Yémen.

Je vais vous parler des deux conflits les plus « médiatiques » :

GAZA
On ne peut que condamner fermement les attentats meurtriers du Hamas en Octobre dernier, et on ne peut également que déplorer, s’insurger contre les actions sanglantes organisées en répression par l’armée d’Israël. En ce qui nous concerne en France, on a à la fois une des plus importante communauté Juive et Arabo-musulman en Europe. Par conséquent nous ne devons tolérer aucune exportation du conflit. Tout le monde doit pouvoir s’exprimer sur le sujet, dans le calme, et dans le respect mutuel.

UKRAINE
J’ai une relation particulière avec l’Ukraine, j’y vais depuis 2014. J’ai bon nombre d’amis sur place, certains combattent, d’autres sont déjà décédés. J’ai eu l’occasion de voir, de mes yeux, la misère engendrée par ce conflit lors de mes actions humanitaires en 2022. Si j’analyse de manière froide, je trouve que notre Président de la République a plutôt été bon sur le sujet : Il a mené le dialogue avec Vladimir Poutine jusqu’au dernier moment, sans jamais laisser tomber l’Ukraine. Encore aujourd’hui il a des prises de position fortes, qui sont certes impopulaires, mais de mon point de vue il est à la hauteur de l’enjeu et des responsabilités qui sont les siennes. On ne peut que regretter l’arrivée au compte-goutte des aides militaires Européennes, tout en espérant une désescalade du conflit et une reprise du dialogue avec les Russes, vers un cessez-le-feu, dès que les conditions le permettront.

En conclusion, l'homme est incorrigible. L'histoire se suit et se répète, sans qu’on n’apprenne jamais rien de l'expérience de nos aînés. Si la guerre reste avant tout une catastrophe humaine, elle a des répercussions écologiques incommensurables. La fabrication d'armes pour des milliards d’euros, et qui dit dépense d’argent dit dépense d’énergie, pour servir in fine à détruire des infrastructures ou des dépôts de carburant, est d’un non-sens écologique. Il est malheureux qu’on en soit encore là en 2024, et qu’on ne soit pas capable de s’entendre, de mettre nos forces et nos ressources en commun pour travailler sur des sujets passionnants comme par exemple, la conquête spatiale !

Ce sujet a toujours animé le débat médiatique, et il faut reconnaître que le manque de sécurité est une réalité dans les grandes métropoles. Qui par ailleurs ne porte pas que préjudice à nos concitoyens, mais également au tourisme en dégradant « l’image de la France à l’international ».

À qui la faute ? Certains accusent les immigrés, d’autres fustigent les manquements de l’État dans les quartiers populaires. En réalité répondre à cette question n’est pas important. Il y a un problème, il faut le régler. Nous avons une police et une gendarmerie compétente, ils doivent pouvoir travailler librement sans avoir peur constamment « de la bavure ». Quant à la justice, c’est peut-être le premier domaine étatique au sein duquel nous allons pouvoir utiliser l’Intelligence Artificielle rapidement. Pour réduire les coûts, les délais, et la question de l’impartialité.

Ce n’est pas un problème. Deux exemples :
- Les États-Unis d’Amérique, terre d’immigration par définition, c’est la première puissance économique et militaire mondiale depuis des décennies.
- Dubaï, 90 % d’immigrés, c’est la ville la plus prospère du monde à l’heure actuelle.
Qui par ailleurs a réussi la triangulaire :
1. Économie fleurissante
2. Sécurité maximale
3. et Taxation à 0% !!
La conclusion de tout cela, c’est que la prospérité d’un Etat dépend uniquement des politiques mises en place par les gouvernements, et en aucun cas de la quantité d’immigrés présente dans le pays.

J'ai conscience que l'Écologie c'est une question fondamentale. Et qu'à défaut de détruire la planète, on détruit l'écosystème qui nous est vital, à nous les hommes, et à des centaines d'espèces animales !

D'un autre côté la cause est perdue d’avance : Dans nos pays occidentaux 95% des gens ne rêvent que d'avoir une plus grosse maison, une plus grosse voiture, et de partir plus loin et plus longtemps en vacances. C'est simplement l'aspect financier qui les limite. La réalité c'est que personne ne veut faire machine arrière (revenir à des modes de vie de nos arrières grands-parents), et les écologistes y compris.

La problématique est la même dans les pays du tiers-monde. Ils regardent vers l'Europe et les États-Unis, la grande majorité n'aspire qu'à une chose c'est de rejoindre notre mode de vie : machine à laver, smartphone, fringues de marque, etc... Encore une fois c'est uniquement l'aspect financier qui les limite.

Tout ça corrélé à une explosion démographique mondiale, l'équation est assez simple à comprendre, et pas forcément réjouissante...

Maintenant ceci étant dit, à chaque fois qu'on impose une nouvelle loi ou norme concernant l'Écologie en Europe ou en France, on se tire une balle dans le pied sur le plan économique au niveau mondial, sans absolument rien changer à cette question existentielle qu'est l’environnement ! Si on s'en sort, et si on doit s'en sortir, ça sera uniquement par la technologie et l'innovation, et non pas par la restriction et la législation.

- Passer d’un système par répartition, à un système de capitalisation.
Aujourd’hui on prend l’argent à « Pierre » pour le donner à « Paul », il y a de moins en moins de « Pierre » et il y a de plus en plus de « Paul ».
Nous ne pouvons pas continuer avec un système qui, malgré ses heures de gloire d’après-guerre, est aujourd’hui voué à l’échec.

Cette transition ne peut se faire qu’avec la jeune génération. On ne peut pas demander aux actifs ou aux retraités de se constituer un capital retraite, quand eux-mêmes ont passé leur vie à payer celle des autres.

- Continuer le nucléaire, en attendant mieux…
- Décorréler le prix de l’électricité par rapport à celui du gaz au niveau Européen.
L’énergie c’est le nerf de la guerre, c'est l'essence même de la richesse d'un pays.
En France notre seule chance par rapport aux technologies actuelles, c’est l’électricité. Il faut continuer à en produire en grande quantité à un coût dérisoire.